Procéder au constat et à la déclaration du décès

En cas de décès lié à une mort naturelle, la famille du défunt est en possession du corps. Elle doit alors faire constater le décès à un médecin dans les 24 heures qui suivent le triste événement. Le médecin rédige alors le certificat de décès qui a une grande utilité pour la suite des démarches funéraires.

Il faut ensuite déclarer le décès à la mairie du lieu de décès en présentant le certificat de mort naturelle. Si le décès a lieu dans un centre hospitalier ou dans une maison de retraite, l’établissement se charge généralement de cette déclaration à la mairie.

Choisir une entreprise de pompes funèbres

Il se peut que l’agence de pompes funèbres ait déjà été choisie au préalable par la personne décédée lors de sa souscription d’assurance obsèques. Il est également possible que le défunt ait déjà prévu les dépenses liées à ses funérailles sans avoir désigné l’organisateur de ses obsèques. Dans cette situation ou en cas d’absence de contrat d’assurance obsèques, le choix de l’entreprise funéraire revient à la famille du défunt. Divers conseils et guides sont disponibles sur le site des entreprises de pompes funèbres.

Quoi qu’il en soit, le prestataire funéraire peut s’occuper de toutes les démarches nécessaires auprès de la mairie et des entreprises d’assurance-vie. Il se charge aussi de l’organisation des obsèques conformément au contrat de prestation.

Préparer la mise en bière, le transport du corps et les cérémonies

Si le déroulement des obsèques a été établi selon les dernières volontés du défunt, il suffit de suivre ce qui a été prévu. Si tel n’est pas le cas, la famille choisit entre la crémation et l’inhumation. Ensuite, il faut organiser le convoi funèbre, la mise en bière, et les cérémonies. Le prestataire funéraire se charge aussi de toutes les démarches nécessaires pour le transport du corps.

Restez soudés

Comment pourriez-vous enseigner la valeur de la fidélité et de l’engagement à vos enfants si au moindre désaccord, vous vous lancez des mots durs à la figure en menaçant de mettre fin à votre mariage ? Soyez fermement décidés, tous les deux, à maintenir vos liens conjugaux, coûte que coûte, cela vous aidera à trouver des solutions en cas de problème et non à penser au divorce ou à la séparation. En agissant ainsi, vous augmenterez le sentiment de sécurité chez vos enfants, ils auront davantage confiance en vous, ce qui les incitera sans doute à vous parler plus librement. Puis, discutez ensemble de l’éducation à donner à vos enfants, montrez un front uni quant à la discipline à administrer en cas de faute.

Soyez de bons parents

Mettre des enfants au monde n’a jamais rendu quelqu’un automatiquement un bon parent. Être un bon père ou une excellente mère s’apprend. Évidemment, vous pouvez appliquer les bons principes que vous avez reçus de vos propres parents. Vous pouvez très bien leur demander des conseils. Mais vous pouvez aussi vous tourner vers d’autres parents qui ont réussi l’éducation de leurs enfants. Soyez assez humbles pour rechercher de l’aide. Surtout, soyez des parents aimants et attentionnés, passez beaucoup de temps avec vos enfants, donnez-leur le meilleur de vous, de votre énergie. Vous verrez, votre famille aura toutes les chances d’être, et de rester heureuse.

La structure de l’avis de décès

Le faire-part de décès se divise toujours en cinq parties. La famille en charge des obsèques est énoncée : il faut toujours commencer par le nom du conjoint ou de la conjointe. Ensuite, le défunt est présenté en évoquant le jour du décès et éventuellement les circonstances de son décès. Viennent ensuite les informations sur la cérémonie des obsèques (date, lieu, type, etc.). Puis, il y a les recommandations du défunt ou de la famille. A la fin de l’avis doivent être présentés les remerciements.

Le mode de diffusion

Une fois le faire-part correctement rédigé, il est nécessaire de l’imprimer et d’en remettre un exemplaire à tous les membres de la famille. Pour les faire parvenir le plus rapidement possible à leur destinataire, il est préférable d’envoyer les faire-parts par courrier. Dans certains cas, un envoi par mail peut être envisagé, mais il faudra respecter les usages qui régissent le faire-part. Pour informer les relations (hors de la famille) du défunt, il est possible de publier un avis de décès dans la presse nationale ou régionale. Le coût de publication dépend du journal sollicité, de la présence d’une photo ou non, de l’option d’impression (publication en monochrome ou en polychrome) et du format de l’avis.

Faire appel à un organisateur de pompes funèbres

Selon les volontés du défunt ou afin d’alléger le fardeau de la famille, il est possible de faire appel aux services des pompes funèbres. Ce professionnel prendra en charge l’organisation et la planification de tous les détails relatifs à l’enterrement. Il peut par conséquent rédiger le faire-part pour la famille et s’occuper de sa distribution. La famille n’aura qu’à renseigner le professionnel des informations qui devront figurer sur le faire-part ainsi que les membres de la famille ou les amis à convier à l’enterrement.

Qu’est-ce que l’inceste ?

L’inceste est par définition, une consommation de relation sexuelle prohibée entre des personnes ayant des liens de parenté. L’inceste est non seulement interdite par la loi mais également par la morale. Pourtant de nos jours, beaucoup ont déjà été victimes d’inceste, tandis que certains ont consenti: un père ayant des relations sexuelles avec leur propre fille, une mère avec un de ses fils ou entre frères et sœurs. Du point de vue de la loi, l’inceste n’a pas toujours été considérée comme une infraction, elle est vue comme une circonstance aggravante en cas de viol et d’abus sexuels sur mineurs par exemple. Il est impossible, selon le code civil, de se marier avec un ascendant ou un ascendant direct. Du point de vue de la morale, on enseigne au sein d’une famille qu’il est interdit d’avoir des relations sexuelles avec ses proches même si on s’aime très fort.

Les conséquences de l’inceste ?

Les conséquences de l’inceste sont désastreuses au sein de la famille où elle s’est produite. Beaucoup de victimes ont témoigné des conséquences au sein de leur famille respective: cela a bien évidemment détruit leur famille. D’ailleurs, certaines personnes ont écopé d’une peine de prison ferme après avoir violé ou abuse de leur propre ascendant. Les familles ne parviennent plus à s’aimer et se faire confiance car l’inceste passe souvent par le mensonge: lorsqu’un père viole sa propre fille par exemple, la mère refuse d’y croire et l’enfant se referme ensuite sur lui-même ou se suicide. L’enfant, pensant qu’il est protégé avec ses parents, se trouve dans une confusion totale et n’arrive plus à faire confiance à qui que ce soit. Tout le long de sa vie, il se demandera comment des personnes proches et qui disaient l’aimer ont pu le trahir et lui faire du mal. L’inceste provoque alors des répercussions souvent irréversibles.

Que faire en cas de non paiement de la pension alimentaire ?

Lorsque la personne tenue de verser une pension alimentaire a failli à son obligation, le parent bénéficiaire peut déposer une plainte. Le motif évoqué sera « abandon de famille » mais il faudra d’abord prouver le défaut paiement de deux moins consécutifs. Le non paiement d’une pension alimentaire est un délit passible d’emprisonnement et de paiement d’amende. Le parent qui aura failli à son obligation peut donc être emprisonné pendant 2 ans au minimum ou verser une amende conséquente de 15.000 euros. Le juge peut apprécier sa bonne foi, si auparavant il n’a jamais failli à son obligation mais que pour une raison précise, il n’a pas pu s’en acquitté. Par exemple, s’il a change de domicile, il doit en informer le juge sinon il peut être sanctionné : versement de 7500 euros d’amende et peine d’emprisonnement de quelques mois.

Revalorisation et modification de la pension alimentaire

Le montant et tout ce qui concerne le paiement de la pension alimentaire est fixée pare juge. Elle peut par la suite être revalorisée suivant le mode de calcul retenu pendant le jugement relatif. La revalorisation peut intervenir tous les ans, elle peut être réalisée en fonction de l’indice des prix à la consommation. Le parent bénéficiaire de la pension alimentaire peut réclamer la revalorisation si le parent qui est tenu de le verser ne le fait pas. Aujourd’hui, il est possible de voir en ligne comment calculer la revalorisation, il suffit de se connecter sur les sites spécialisés. En ce qui concerne la modification de la pension alimentaire, celle-ci est effectuée par le juge qui l’a fixé. Elle peut intervenir pour différentes raisons : évolution des besoins de l’enfant ou changement important des revenus du parent débiteur.

Bien se connaître avant de présenter

La présentation d’une nouvelle personne aux enfants est une étape cruciale dans leur vie. C’est pourquoi il faut d’abord s’aimer à deux avant de prendre la décision de faire aimer l’élu de son cœur aux enfants. Il faut donc prendre le temps de bien se connaître et d’apprendre à s’aimer assez longtemps. En fait, on ne passe à la présentation que lorsqu’on est parfaitement sûr qu’on est capable de construire des bases conjugales bien solides. De cette manière, il devient plus facile d’affronter les choses telles qu’elles le seront lorsque le jour J est enfin venu. D’ailleurs, il ne faut jamais s’attendre à d’excellentes réactions. Il est même préférable de s’imaginer les plus pires des cas pour une meilleure anticipation.

A chacun son rôle

Dans une famille recomposée, personne ne doit être exclu dans la vie de famille. En fait, chaque membre (papa, maman, beaux-parents et enfants) doit avoir leur place que tout le monde devra respecter. Aux yeux des enfants, papa et maman devront toujours rester les chefs quoiqu’il puisse arriver. Les beaux-parents, quant à eux, prendront la place de second chef. Il est toutefois à noter que cette place ne revient pas automatiquement à ces derniers. C’est une situation qui dépend surtout à la qualité de relation qu’ils entretiennent avec les enfants et de leurs volontés à intégrer la famille. En fait, chacun retrouvera facilement sa place à partir du moment où tout le monde s’engage à se respecter mutuellement. Sinon, le plus important c’est de respecter les enfants. Il ne faut en aucun cas les prendre pour des intermédiaires ou encore les donner des responsabilités qui ne sont pas de leur âge.

Apprenez à accepter les conflits

Vous avez toujours tendance à penser que les conflits fraternels sont nocifs. C’est une idée reçue qui induit les parents à réagir maladroitement. Au contraire, les disputes entre frères et sœurs sont très bénéfiques et renforcent leur lien. Les conflits se présentent comme une opportunité pour chaque enfant de s’affirmer et de ne pas vivre sous l’illusion de l’autre. De ce fait, effacer les disputes de votre quotidien pourrait avoir un impact sur leur développement. Vous pourriez créer un blocage à leur apprentissage. En se bagarrant, ils découvrent la notion de la confrontation qui se termine par une négociation et une réconciliation.

Faut-il intervenir ou pas ?

Les disputes sont utiles pour leur développement. Cependant, vous devez surveiller les évènements quand les tons commencent à monter ou que quand l’un ou l’autre jette des objets ou claquent la porte. Même les bagarres contribuent à l’apprentissage, cela ne doit pas se faire au détriment de l’autre, qu’il devient le bouc émissaire. Restez à l’écoute des plaintes, mais évitez décréter une solution à la situation. Vous pouvez leur proposer votre aide pour résoudre le conflit qui les oppose.
Prenez le temps d’écouter tous les protagonistes du conflit. Soyez neutre comme un médiateur. Vous devez juste les aider à trouver la source du conflit, puis laissez-les trouver la solution eux-mêmes. Après tout vous n’aimeriez pas qu’une troisième personne vienne s’imiter dans vos disputes de couple. Alors, pourquoi le faire pour les conflits entre vos enfants ?

Mettez-vous à leur place

Généralement, les disputent naissent autour d’un seul objet. Que ce soit un vêtement, un jouet, une part de gâteau, un jeu… Le ton a tendance à monter pour des broutilles. L’un des enfants convoite et que l’autre n’est pas près de céder. Au lieu de mettre court aux disputes, non pas pour les alimenter, mais pour changer l’objet de convoitise. Vous pouvez transformer les conflits en jeu pour relâcher la tension.